Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Pour Friedrich Merz, qui se veut l’homme fort de l’Europe, la réunion, jeudi 18 septembre à Bruxelles, des chefs d’Etat et de gouvernement européens s’est soldée par un échec. Le chancelier allemand était arrivé dans la capitale belge avec deux objectifs : d’une part, convaincre les Vingt-Sept d’utiliser les actifs russes immobilisés pour financer l’effort de guerre ukrainien et de l’autre, obtenir d’eux qu’ils mandatent la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, afin qu’elle puisse signer, samedi 20 décembre au Brésil, l’accord de libre-échange avec quatre pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay) conclu un an plus tôt.
Il en allait, dans les deux cas, avait-il affirmé, de la crédibilité de l’Europe sur la scène géopolitique mondiale. Las. Sur le prêt de réparation, Friedrich Merz n’a pas réussi à lever les objections du premier ministre belge, Bart De Wever, inquiet des risques que le dispositif ferait peser sur son pays, où sont hébergés l’essentiel des avoirs russes, et sur la stabilité de l’euro. « Je suis pire qu’Orban », a plaisanté le nationaliste flamand, en référence au premier ministre hongrois toujours prêt à dégainer son droit de veto. Sur le Mercosur, c’est la présidente du conseil italien, Giorgia Meloni, qui a contrarié les plans du chancelier, en s’alliant au président français, Emmanuel Macron.
Il vous reste 82.38% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Vous ignorez qui est l’autre personne ? Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Si vous utilisez ce compte à plusieurs, créez un compte pour votre proche (inclus dans votre abonnement). Puis connectez-vous chacun avec vos identifiants. Sinon, cliquez sur « » et assurez-vous que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Vous ignorez qui d’autre utilise ces identifiants ?
Si vous êtes bénéficiaire de l’abonnement, connectez-vous avec vos identifiants. Si vous êtes 3 ou plus à utiliser l’abonnement, passez à l’offre Famille. Sinon, cliquez sur « » et assurez-vous que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Vous ignorez qui d’autre utilise ce compte ?
Si vous utilisez ce compte à plusieurs, passez à une offre multicomptes pour faire profiter vos proches de votre abonnement avec leur propre compte. Sinon, cliquez sur « » et assurez-vous que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.