Les deux hommes armés qui ont visé une fête juive sur une plage de Sydney étaient un père, abattu par la police, et son fils. Le cas de ce dernier, âgé aujourd’hui de 24 ans et hospitalisé, avait été porté à l’attention des autorités en raison de sa proximité avec d’autres personnes radicalisées, sans qu’un risque de menace soit finalement avéré.
Rassemblement en hommage aux victimes de la fusillade survenue dimanche, près de la plage de Bondi, à Sydney, le 15 décembre. MARK BAKER / APPosez votre question à la rédaction :
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Les noms des deux suspects révélés par les médias
Les médias australiens ont identifié les deux tireurs comme étant Sajid Akram, 50 ans, abattu par des policiers, et son fils Naveed Akram, 24 ans, hospitalisé et placé sous surveillance policière.
Selon la chaîne publique ABC, des enquêteurs antiterroristes estiment que les deux tireurs avaient prêté allégeance à l’organisation djihadiste Etat islamique (EI). Des hauts responsables ont déclaré à ABC que deux drapeaux de l’EI avaient été trouvés dans la voiture des auteurs de l’attaque sur la plage.
La police de Nouvelle-Galles du Sud a dit ne pas pouvoir confirmer les informations d’ABC.
Le premier ministre australien se déclare favorable à une législation plus stricte sur les armes
« Le gouvernement est préparé à prendre toutes les mesures nécessaires. Cela inclut notamment le besoin de lois plus fermes sur les armes à feu », a déclaré le premier ministre australien, Anthony Albanese, alors que la police a confirmé que l’un des assaillants possédait légalement six armes à feu.
« Les gens peuvent se radicaliser au fil du temps. Les permis ne devraient pas être permanents », a-t-il ajouté, déclarant qu’il proposerait de nouvelles restrictions, notamment la limitation du nombre d’armes à feu qu’un détenteur de permis peut acquérir.
04:44 Urgent
L’un des suspects visé par un enquête du renseignement australien en 2019
Le premier ministre australien, Anthony Albanese, et le ministre de l’intérieur, Tony Burke, viennent de donner quelques informations supplémentaires aux journalistes. Les deux hommes ont reconnu que le plus jeune des agresseurs, le fils âgé de 24 ans, de nationalité australienne, avait fait l’objet d’une enquête des services de renseignements. Son cas a été porté à l’attention des autorités en octobre 2019, en raison de sa proximité avec d’autres personnes radicalisées, mais pas en raison d’un risque d’action violente. « L’évaluation a été réalisée en raison des fréquentations du fils à l’époque et l’enquête a duré six mois », a déclaré M. Albanese. A l’issue de l’enquête, il a été estimé qu’il ne représentait pas une menace.
Le père, lui, est arrivé dans le pays en 1998 avec un visa d’étudiant, avant d’obtenir un visa de conjoint en 2001 puis plusieurs renouvellement de visas, avant d’être naturalisé.
03:30 En photos 📷
A Bondi Beach, l’émotion au lendemain de l’attaque meurtrière
Des effets personnels abandonnés par les personnes fuyant la fusillade, à Bondi Beach, à Sydney, le 15 décembre 2025. Des femmes accrochent le drapeau israélien à côté du drapeau australien au pavillon de Bondi, à Sydney, le 15 décembre 2025. Un mémorial improvisé, à Sydney, le 15 décembre 2025. Le codirecteur général du Conseil exécutif de la communauté juive d’Australie, Alex Ryvchin (à gauche), et le président de l’organisation de la communauté juive de Nouvelle-Galles du Sud, David Ossip, à Bondi Beach, à Sydney, le 15 décembre 2025. Près du lieu de la fusillade, à Sydney, le 15 décembre 2025. Sur les lieux de la fusillade, à Sydney, le 15 décembre 2025.Les principaux points de la conférence de presse
- Un suspect de 24 ans est actuellement hospitalisé, en raison de blessures légères et « il est probable qu’il pourra faire face à des poursuites judiciaires », l’autre assaillant est mort. Il s’agit d’un père et de son fils ;
- 15 autres personnes sont mortes et 38 sont encore hospitalisées ;
- l’un des suspects détenait légalement six armes, dont des armes longues, en tant que membre d’un club de tir. Son permis date de 2015 ;
- face à la polémique qui monte, le premier ministre de Nouvelle-Galles du Sud estime que la loi sur les armes « doit changer et peut changer » ;
- la police locale considère l’attaque comme un « acte terroriste », car elle visait « délibérément les membres de la communauté juive » ;
- les autorités locales assurent qu’il n’y aura « aucune tolérance » pour les tentatives de récupération du drame, via des rassemblements violents de l’extrême droite.
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La conférence de presse s’achève, aucune information sur l’enquête, et notamment sur le profil des suspects, n’a été donnée.
Interrogé sur d’éventuelles manifestations d’extrême droite – le journaliste évoque les émeutes racistes de Cronulla, en 2005 –, le premier ministre de Nouvelle-Galles du Sud répond :
« Il n’y aura aucune tolérance, aucune tolérance pour toute forme de représailles ou d’acte de vengeance, d’agression contre quiconque dans notre communauté. Nous n’allons jamais permettre une situation où nous sombrerions dans l’anarchie. Et si vous envisagez de participer à quelque chose de ce genre, attendez-vous à une intervention policière massive et écrasante. Ce ne sera pas toléré. Nous devons appeler au calme. Nous devons faire en sorte que les habitants de la Nouvelle-Galles du Sud comprennent qu’il s’agit d’un événement horrible. Il faut laisser les communautés de Nouvelle-Galles du Sud se remettre de ce drame, leur accorder un moment de recueillement pour qu’elles puissent pleurer la perte de leurs proches. La dernière chose dont nous ayons besoin, c’est de sombrer dans la violence. Et nous ne le tolérerons pas en Nouvelle-Galles du Sud. »
Les reponsables refusent de confirmer qu’un drapeau de l’organisation Etat islamique a été découvert dans le véhicule des suspects.
Selon M. Lanyon, le suspect « remplissait les critères d’admissibilité pour un permis de port d’armes à feu. Ce permis était destiné à la chasse de loisir. Il existe deux types de permis de chasse : celui permettant de chasser sur une propriété privée ou celui permettant de chasser au sein d’un club de chasse. Il était membre d’un club de tir et, en vertu de la loi sur les armes à feu, il avait droit à une autorisation de détention d’armes à feu ».
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Les questions des journalistes se concentrent sur la législation sur les armes : l’un des suspects détenait six armes légalement déclarées. « Nous examinons actuellement cette question. Je pense qu’il est temps de modifier la législation sur les armes à feu en Nouvelle-Galles du Sud, mais je ne suis pas prêt à l’annoncer aujourd’hui », répond le premier ministre de la région.
La conférence de presse réunit le premier ministre de Nouvelle-Galles-du-Sud, Chris Minns, la ministre de la police de la région, Yasmin Catley, et le commissaire de police, Mal Lanyon.
02:29 Urgent
Les autorités locales et la police tiennent une conférence de presse sur l’attaque
Le 14/12 à 23:50 Vos questions
Bonjour Vieil abonné,
Effectivement, il s’agissait d’une erreur de traduction de notre part, que nous avons corrigée dans le post que vous citez. Nous nous en excusons.
Mal Lanyon, le commissaire de police de Nouvelle-Galles du Sud, n’a pas évoqué une absence de préméditation, mais le fait que ses services n’avaient pas eu connaissance de préparatifs d’un attentat, alors qu’il était interrogé par un journaliste sur le fait de savoir si les suspects de l’attaque étaient connus de ses services.
Le 14/12 à 22:45
Le jeune Français tué dans l’attaque était un ingénieur informatique de 27 ans
Un jeune ingénieur informatique français de 27 ans, Dan Elkayam, a été tué dans l’attaque contre des juifs perpétrée à Sydney, en Australie, où il travaillait depuis tout juste un an. L’annonce a été faite peu après 19 heures par le ministre des affaires étrangères, Jean-Noël Barrot.
Le jeune homme, originaire du Bourget (Seine-Saint-Denis), fait partie des 15 personnes tuées dans l’attaque sur la célèbre plage de Bondi à Sydney. Le maire du Bourget, Jean-Baptiste Borsali, a salué la mémoire de Dan Elkayam dans un message sur Facebook.
« En ces heures douloureuses, au nom de la ville du Bourget et en mon nom personnel, j’adresse mes pensées les plus sincères à sa famille et à tous ses proches. La perte d’un enfant, loin des siens, dans des circonstances aussi tragiques, nous bouleverse profondément », a-t-il écrit.
« Ses parents, qui vivent toujours dans une résidence au Bourget, étaient des commerçants de la ville bien connus, qui ont tenu un magasin d’ameublement », a-t-il détaillé à l’Agence France-Presse, soulignant que la mort du jeune homme « a créé l’émoi au sein de la ville parce que ce sont des gens très sociables, très gentils et bien connus de la population ». Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), Yonathan Arfi, s’est entretenu avec les parents dimanche.
Après des études à Montreuil et Créteil, en banlieue parisienne, il a travaillé à Bois-Colombes (Hauts-de-Seine) avant de partir s’installer en Australie, à Sydney, où il travaillait comme analyste informatique depuis décembre 2024. Selon ses réseaux sociaux, il avait voyagé ces trois dernières années au Mexique, en Indonésie, en Thaïlande et en Australie. Il a pratiqué le football au sein du club du Bourget pendant plusieurs années.
Le 14/12 à 22:17
Deuil national en Australie après l’attaque « terroriste » et « antisémite » de Sydney
L’Australie va mettre ses drapeaux en berne en signe de deuil national après la fusillade de Bondi Beach, qui a fait 15 morts, a annoncé lundi le premier ministre Anthony Albanese. « Les drapeaux seront en berne dans tout le pays aujourd’hui en hommage aux victimes et aux blessés », a déclaré M. Albanese. Les autorités évoquent une attaque « terroriste » et « antisémite ».
Le 14/12 à 21:43 Urgent
Les deux auteurs de la fusillade sont un père et son fils, selon la police de Nouvelle-Galle-du-Sud
Lors d’une conférence de presse, le commissaire de police de Nouvelle-Galles-du-Sud, Mal Lanyon, a confirmé que les deux auteurs présumés de l’attaque visant une fête juive à l’occasion des célébrations de Hanoukka à Sydney sont un homme de 50 ans et un autre de 24 ans, qui étaient père et fils. Le père a été abattu par la police, tandis que le fils se trouve dans un état critique mais stable à l’hôpital.
Le commissaire de police précise que les perquisitions réalisées à Bonnyrigg et l’autre à Campsie ont permis de confirmer que l’homme âgé de 50 ans était titulaire d’un permis de port d’armes depuis dix ans et détenait six armes à feu enregistrées auprès des autorités.
Selon M. Lanyon, les enquêteurs poursuivent leurs investigations pour déterminer le mobile de cette attaque. Il précise que ses services n’avaient eu, avant les faits, « aucune indication qu’un des hommes impliqués planifiait cette attaque ».
Rectificatif le 14 décembre 2025 à 23 h 45 : correction d’une erreur de traduction des propos de M. Lanyon sur la planification de l’attaque.
Le 14/12 à 20:42 Urgent
Le bilan de l’attaque à Sydney monte à 16 morts, dont l’un des assaillants, selon le ministre de la santé de Nouvelle-Galles du Sud
Ryan Park, ministre de la santé de Nouvelle-Galles du Sud, en Australie, a déclaré sur ABC News Breakfast que 16 personnes, dont un enfant, ont été tuées lors de l’attaque sur la célèbre plage de Bondi à Sydney. Ce bilan inclue l’un des tireurs, mort pendant l’attaque, a ensuite précisé la police à l’Agence France-Presse.
Selon un communiqué de la police de Nouvelle-Galles du Sud, « 40 personnes restent hospitalisées après la fusillade survenue hier à Bondi ». Evoquant des « blessures catastrophiques », le ministre de la santé a précisé que les blessés ont été transportés à l’hôpital – certains dans un état critique et d’autres grièvement blessés.
« L’ensemble de notre pays doit agir et doit se montrer solidaire de la communauté juive. Cette attaque abominable est sans précédent, comme on n’aurait jamais cru en voir dans notre pays », a déclaré M. Park, qui n’a apporté aucune précision sur les motivations des tireurs, affirmant que la police apporterait des éclairages sur ce point.
Le 14/12 à 19:19 Urgent
Un Français a été tué dans l’attaque de Sydney, affirme Jean-Noël Barrot
Le ministre de l’Europe et des affaires étrangères a affirmé qu’un Français figurait parmi les personnes tuées lors de l’attaque de Sydney. « C’est avec une immense tristesse que nous avons appris que notre compatriote Dan Elkayam compterait parmi les victimes de l’attaque terroriste abjecte » ayant ciblé un rassemblement pour la fête juive de Hanoukka, a déclaré sur X Jean-Noël Barrot.
« Cet acte ignoble est une nouvelle manifestation tragique d’un déferlement révoltant de haine antisémite auquel nous devons faire échec », a poursuivi le ministre, assurant que « la France ne ménagera aucun effort pour déraciner l’antisémitisme partout où il surgit, et pour combattre le terrorisme sous toutes ses formes ».
« Je pense à sa famille et à ses proches et leur exprime la pleine solidarité de la Nation », a déclaré Emmanuel Macron dans un message publié sur X.
Le 14/12 à 19:12
Donald Trump condamne l’attaque « purement antisémite » à Sydney
Le président américain a condamné dimanche l’attaque contre une fête juive à Sydney, la qualifiant d’acte « purement antisémite ». « C’était une attaque terrible », a déclaré le président américain lors d’un événement de célébration de Noël à la Maison Blanche.
Le 14/12 à 18:56
Le Qatar et l’Arabie saoudite réaffirment leur « position contre le terrorisme »
Doha réaffirme sa « position ferme » contre « la violence, le terrorisme et les actes criminels, quels qu’en soient les motifs ou les raisons ». Sur cette même ligne, Riyad a condamné l’attaque « terroriste », réaffirmant « sa position contre toutes les formes de violence, de terrorisme et d’extrémisme ».
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